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Linda Boucher photographe

Linda Boucher
Photographe du Journal Pop Rock 1980 1987 
Publié 7 mai 2020
Vues 6,700
Republié le 26 novembre pour souligner son anniversaire, Linda est née le 25 novembre, 61 ans !  

Par Nathalie Ruscito

Linda Boucher, photographe

2020

Parmi les membres d’une organisation musicale professionnelle, on compte toutes sortes de gens indispensables et très utiles, autour d’un spectacle. Il y a les artistes sur la scène et il y a les professionnels autour. Sans eux, nous serions loin de pouvoir rendre autant magiques ces instants de grand déploiement publique. Tous ont un rôle spécifique et indispensable à la réalisation d’un show d’envergure. Que ce soient, les spécialistes du son et de l’éclairage ou encore le coordonnateur de l’événement, le gérant des artistes ou bien les médias, tous doivent être prêts à temps. Bien entendu, il y a également les photographes, à l’affût de la moindre expression spéciale ou de la phrase clé qui servira à marquer l’histoire! Assister à un événement marquant et convoité par le grand public, pris en charge par les professionnels du visuel, dans le but d’en témoigner et, d’en consolider nos mémoires, un vrai travail d’artistes en soit.  Être témoins de la magie qui s’opère, sentir la foule vibrer, en faisant partie de cet échange d’énergie collective. Ces événements rassembleurs qui nous permettent de nous ressourcer…

Linda est née en 1962. C’est à l’âge de 10 ans, en 1972, que Linda a commencé à travailler à la boutique d’animaux de son papa Renald. Encore toute jeune, elle apprend à œuvrer dans l’entreprise familiale qui, elle le précise, lui a enlevé une partie de son enfance. Ajoutant, qu’elle a suivi plusieurs cours les fins de semaine, car elle travaillait au commerce de son père la semaine. « Le Pet Shop de mon père, c’était comme une grande famille, les gens venaient souvent parler avec mon père.  À l’âge de vingt ans, j’ai suivi un cours privé de manucure et j’avais des clientes à domicile, mais quelquefois, je me mettais au bout du comptoir au commerce de mon père pour en faire. Il y avait deux comptoirs, un pour la caisse et un autre qui séparait les articles les plus chers. Je prenais le deuxième pour faire les ongles à mes clientes. Dans l’ temps, j’avais les ongles super longs, avec plein de dessins, et c’était rare. Le Magazine Flash Varicelle a même fait une entrevue avec moi, sur mes ongles… À l’époque, au Pet Shop, il y avait une petite vitrine, à gauche de la boutique, que mon père me laissait, pour vendre mes articles à moi ; macarons, photos, calendriers et photos- souvenir de Marjo …etc. »

Linda et son père

Complicité artistique entre la mère et la fille

Linda a toujours entretenu des liens très serrés avec ses deux parents, avec qui elle a travaillé tout sa vie, bien qu’ils vivaient séparés. Cependant, du coté artistique, c’est plus avec sa maman Élise que Linda a partagé une grande complicité. Sa mère l’accompagnait tout partout lors des shows et des lancements d’albums. Elles ont toujours travaillé et fait équipe ensemble. Il n’y a pas très longtemps, Élise a encore fait des recherches pour sa fille.

Les deux complices, Linda et Élise

« C’est ma mère qui m’a offert ma première Nikon en 1979. On a fait le premier livre de l’année à mon école, j’étais chef de la photo. Drôle à dire, car j’étais la seule qui prenait des photos. Au début, y’en avait deux autres qui voulaient en faire, mais ils n’avaient pas l’équipement professionnel comme moi. Ma mère m’avait bien équipée ! Et d’ailleurs, je ne me souviens même pas comment j’ai passé mon année scolaire, car j’étais plus souvent au local pour le livre que dans mes cours. Et pourtant, j’ai eu mon diplôme ! J’ai appris à développer mes films et photos au secondaire V. Ensuite, j’ai voulu m’inscrire en Photo au Cégep, mais le cours se donnait au cégep du Vieux Montréal, et j’habitais Laval. Alors, je me suis inscrite à Lionel Groulx en Communications, mais avec option photo. Je ne voulais pas perdre mes amies. Mais quand je me suis présentée pour le choix de mes cours, j’ai dit au gars, je vais prendre option photo, il m’a répondu y’a plus de place, alors j’ai répondu, pas grave je vais aller travailler au Pet Shop de mon père ! Le gars me répond alors, ce n’est pas parce que tu me fais des menaces que je vais te trouver une place, et je lui dis non, tu ne comprends pas, moi je n’aime pas l’école, et c’est ma mère qui veut me voir aller au cégep. Ma mère qui m’attendait dans son Jeep me voit arriver puis me dit ; et puis, c’est quand tu commences?  Je lui ai répondu jamais, je vais aller travailler pour papa demain matin. » Notons que, par la suite, Linda est allée au collège Dawson, pour apprendre à développer ses photos couleurs et qu’elle a dû refaire le cours en entier, incluant le noir et blanc, afin d’obtenir son diplôme.

Sa maman était éditrice d’une revue de sports, et comme Linda avait été initiée à la photographie depuis son tout jeune âge, elle a commencé, dès l’âge de 18 ans, à travailler avec sa mère comme photographe officielle de ladite revue pendant plusieurs années. « Notre revue, à ma mère et moi, fondée en 1982, s’appelait Revue Lutte Internationale au Québec. Ma mère écrivait tous les textes et moi je faisais toutes les photos. On était juste nous deux pour faire la revue, de A à Z. C’est en septembre 1984 qu’on a changé le nom pour Lutte, Boxe et Kick Boxing, et c’est là que j’ai commencé à faire des photos de boxe et de kick boxing. D’ailleurs, Gerry Boulet était venu voir un combat de boxe à cette époque. » « Comment la lutte a commencé, pour moi?  Ma mère, qui était gérante d’un bar appelé La Chouannerie Piano Bar, sur la rue Saint-Hubert, avait beaucoup de clients lutteurs qui fréquentaient les lieux. Ma mère sortait avec un lutteur à l’époque, et il me trouvait super bonne photographe. Un jour il me dit, pourquoi tu ne viendrais pas faire des photos de lutte au centre Paul Sauvé un soir, tu es super bonne. Donc, j’y suis allée. Comme ma mère a toujours aimé la lutte dès son enfance, alors j’y allais pour lui faire plaisir. Et j’ai trouvé ça l’fun de rencontrer tout ce monde. » Par la suite, elles assurèrent à elles seules tout le travail colossal, de la production à la distribution mensuelle de cette belle revue. Un duo mère-fille parfait.

Gerry Boulet, Élise Boucher et le boxeur Donato Paduano

Linda avec son idole de jeunesse, Michel Pagliaro, au lancement de l’album de François Guy

Par un beau jour, Géo Giguère, dont le Journal Pop Rock était situé dans le même quartier, entre dans la boutique d’animaux. Tout en cherchant ce qu’il avait de besoin, il porte une attention spéciale à la décoration des murs. Stupéfait, il s’attarde sur une série de photos de lutte, mise en valeur dans le magasin. N’étant pas son sport préféré ni son domaine médiatique, il prend toutefois le temps d’admirer les photos et reconnait un réel talent de l’artiste, derrière ces images. Intrigué, il demande le nom du photographe… Linda de service ce jour-là s’exclame « Elles sont belles n’est-ce pas ? C’est moi qui les ai faites ! » Alors, Géo enchanté, lui remet sa carte et lui dit ; notre bureau du magasine Pop Rock est juste à côté, sur la rue St-Germain, si jamais tu aimerais faire des photos d’artistes et de musique rock pour nous, passe nous voir !

Carrière de photographe

Toujours est-il que finalement, Linda se présente au Journal Pop Rock, tel qu’entendu    et devint alors une des photographes officielles du Pop Rock pendant plusieurs années. En travaillant pour eux, cela l’amènera à rencontrer et à côtoyer plusieurs artistes dans le cadre de ses fonctions et ainsi devenir une photographe artistique recommandée, très prisée et recherchée. Linda Boucher, au cours de sa carrière de photographe, a eu la chance de travailler, auprès de plusieurs artistes de renom. Cette professionnelle, de l’industrie artistique du Québec a une joie de vivre contagieuse, elle sait très bien rendre les gens à l’aise et enjoués devant la caméra. Elle est tellement gentille, généreuse et attachante, qu’elle est devenue amie avec ces artistes de prédilection. Linda a eu la chance de faire partie de leur entourage immédiat. Elle est de ceux, qui ont été témoins de leurs aventures de près et qui a partagé avec eux, des instants privilégiés, privés et inoubliables. C’est avec un immense plaisir, que la Famille Rock tient à rendre hommage à Linda Boucher, afin de souligner son talent exceptionnel et la belle carrière de cette grande artiste des arts visuels !

Géo Giguère et Marjo

Celle qui a fait ses premiers pas dans le sillage de sa maman en tant que photographe dans le milieu du sport, elle a fait ses seconds pas dans le domaine artistique, avec le Journal Pop Rock dans les années 80. Par la suite, elle a décroché des contrats pour d’autres magazines dont le 7 Jours, Dernière Heure, Vedettes Internationales et plusieurs autres. C’est l’ors d’une rencontre avec Ginette Bonneville des Distributions Sélect, qu’elle a été mandatée pour prendre des photos de lancements de disques et des événements spéciaux (1986). Elle aura aussi fait, pour eux, des photos pour des pochettes d’albums. Linda a de plus fait des contrats pour Mega Presse Image, qui eux, vendaient des photos partout aux USA, en France et au Québec à des magazines tels que 7 Jours et Dernière Heure. « Les magazines faisaient affaire directement avec Mega Presse Image, qui eux, me téléphonaient pour toutes sortes de photos. » Ce qui lui donna également la chance d’être la photographe pour l’émission de télé Métro Star. Tout ceci constitue à ce jour son trésor de souvenirs, tout à fait inoubliables! Elle a eu le privilège de travailler à l’ADISQ, pour leurs galas de 1980 à 1992.  Également pour Les Productions Audiogram et les Productions Pierre Tremblay et Yan Tremblay et quelques fois pour Radio Activité. Elle a aussi été photographe  pour la revue Vie de Star, dont une des photos avec Marjo  a fait le front page en 1987.

Elle précise que ; « Quand je terminais un show ou un lancement, j’avais tellement hâte de revenir développer mes films et mes photos. Je me couchais toujours aux petites heures du matin pour aller livrer les photos toute suite. Je donnais un excellent service très rapide. » Ces opportunités de travail lui ont donné la chance de capter les plus belles images de l’industrie musicale du Québec et aussi, de niveau international, par le passage des artistes au pays. Sur cette photo, Shawn Phillips accompagné de la photographe Linda Boucher, parue dans le Journal Pop Rock, dont l’article fut écrit par Élise Boucher en 1984.

De beaux souvenirs à jamais immortalisés…

Cet hommage se veut, à la fois le soulignement de cette grande dame de la photographie, ainsi que celui de sa maman Élise, que Géo a eu la chance de côtoyer et d’apprécier. Une reconnaissance à celles qui ont su se tracer un chemin exemplaire à travers ce monde d’hommes, de lutteurs et de rockeurs ! Faut bien le dire, les médias appartenaient majoritairement à la gente masculine dans les années précédentes, et de même pour le domaine artistique. Depuis toujours, ce sont des métiers qui ont été beaucoup plus exploités par les mâles de notre espèce.

Ses liens avec Marjo vont au-delà d’une simple amitié. Celle qui va, aimait beaucoup les parents de son amie, les appelant tendrement, maman Élise et papa Renald !

Sa première rencontre officielle avec Marjo, c’est au lancement du disque de François Guy (ex-membre des Sinners). « On se jase, elle me donne son adresse pour que je lui envoie des photos et on devient amie. Elle me donne des billets pour assister à ses shows de Corbeau. J’ai même fait la photo pour leur passe back stage. Une amitié qui dure depuis ce temps-là. Elle m’a invité à son lancement de disque en 1986, pour Celle Qui Va et c’est là que j’ai fait la rencontre de plusieurs personnes dont Pierre Tremblay… et tout le reste a suivi par la suite. Et le 26 mars 2010, Marjo m’engage pour faire ses photos du show Marjo et Ses Hommes au Centre Bell. Puis, quand elle a fait les Francofolies en 2018, elle m’a commandé des photos, pour mettre sur écran géant, durant sa chanson Si C’est Ça la Vie. Elle me dit, envoies-moi ta facture et je lui dis, ben non, depuis le temps qu’on se connait… elle me répond, je sais comment tu mets du temps et de l’argent, alors je veux absolument te payer, et finalement, je n’ai jamais envoyé de facture ! »

Marjo et Linda, dans la loge en 1987

« Tout le monde croyait que la colombe était attachée à Marjo durant ses spectacles, eh bien non ! C’est moi qui ai eu l’idée de lui remettre une colombe quand elle chantait Chats Sauvages, au Spectrum. Michel Sabourin, que je ne connaissais pas encore, est venu me voir après le spectacle, pour me dire, que c’était une super bonne idée ! Et il me dit, je veux que tu rapportes la colombe tous les soirs quand elle commence à chanter Chats Sauvages. Je lui dis ben non, je lui la donne en cadeau, puis il a dit, tu ne sais pas l’impact que ça vient de faire ! Alors tu vas la rapporter ! Alors j’ai fait les quatre soirs au Spectrum. Ensuite au gala de l’ADISQ, Mouffe m’a demandé d’apporter à nouveau la colombe à Marjo. Quand je suis allé voir Marjo en février dernier, mon amie lui dit, te souviens-tu quand Linda te donnait la colombe, et elle s’est retournée vers France D’amour et elle a dit, c’est Linda qui me donnait la colombe… Aye ! ça c’était une maudite bonne idée Linda. »

Eh bien, c’est là que Linda Boucher aime se retrouver !  Entouré par la nature, en famille et auprès de ses amis, les artistes, en les accompagnant à travers leurs spectacles et leurs carrières. Témoin de l’instant présent, captant la magie, les regards, les sourires, la réaction autour et les faits marquants qui deviendront de doux souvenirs impérissables. Voir les artistes en présence de leurs fans nager dans le pur bonheur, en faisant en sorte que, ces plus beaux souvenirs mémorables puissent être à tous jamais gravés dans nos cœurs.

Une collection d’œuvres d’art inestimable! Linda Boucher a su capter et développer plus que de simples images. Tous seront d’accord, elle a une façon presque magique de saisir l’instant sublime des personnalités publiques. Elle sait capter la profondeur de ses sujets, à l’instant présent, ce qui fait que ces photographies sont purement et simplement des chefs-d’oeuvre. Eh oui Linda, il fallait tout même que j’ose le dire ! Voilà ce que tous s’accordent à dire ! Linda m’a confiée avoir toujours été humble, c’est tellement une belle personne avec un cœur immensément grand. Elle a toujours fait cela uniquement parce qu’elle aimait ça, et non pour devenir l’une des meilleures photographes du Québec.

Il est impossible de publier ici l’ensemble de son œuvre puisque son catalogue compte des milliers de photos. Nous avons pris le soin de choisir quelques images qui sauront faire saliver les nombreux amateurs et mélomanes de ces groupes rock québécois qui nous ont accompagnés au cours de notre histoire.

Sans ces professionnels de l’immortalisation de l’instant présent, nos plus doux souvenirs s’estomperaient avec le temps, mais grâce à eux qui en témoignent, on s’en souviendra toujours… à jamais gravé dans nos âmes et notre mémoire ! Linda a fait des photos pour plusieurs autres artistes au cours de sa carrière. Employée pour toutes sortes de tâches ; photos, pochettes d’albums, programmations, passes back stage, produits dérivés, couvertures de livres etc…

C’est un énorme privilège et un grand honneur pour nous à Famille Rock, de la compter depuis toujours au sein de notre équipe et d’avoir accès à son très vaste catalogue artistique qui contient d’innombrables photos, toutes aussi touchantes que mémorables.

Sur notre Facebook Famille Rock et Journal Pop Rock, on peut y voir ses publications, plusieurs fois par semaine, de photos-souvenirs qu’elle nous partage. Par ailleurs, il vous est possible de consulter sa page Facebook Linda Boucher, si vous avez envie d’en voir plus. Tant qu’à nous, nous ferons une seconde chronique avec Linda dans un avenir rapproché, qui inclura les meilleures photos de ces artistes.

Tout en poursuivant sa carrière, entre temps, Linda est devenue maman de deux adorables garçons, avec qui elle a des liens profonds et une grande complicité familiale et dont elle est si fière!

À ce jour, âgée de 57 ans, Linda continue de faire de la photo et de scanner ces nombreux souvenirs encore inédits, afin de les rendre accessibles pour tous en ligne. Elle les partage avec les artistes gratuitement sur leur Facebook. Elle en reçoit tellement de beaux témoignages, qu’elle me dit ; que c’est sa plus belle paye jamais reçue à vie. Par ailleurs, elle vit une belle histoire d’amour depuis 28 années avec son amoureux Daniel, qui semble avoir pris beaucoup de plaisir à lui rappeler ses nombreux exploits, sentant la fierté de partager sa vie avec sa talentueuse compagne de toujours.

En terminant, j’aimerais remercier son fils François, qui lui a fortement recommandé de faire l’entrevue avec nous, lui mentionnant l’importance de lui rendre hommage pour l’ensemble de son œuvre. Merci à toi Linda pour tes nombreux témoignages qui ont servi à peindre le déroulement professionnel de ton entreprise et pour la laborieuse recherche dans tes photos. La Famille Rock te souhaite longue vie dans la continuité de ta carrière et on te remercie de nous avoir confié ce mandat, celui de rendre hommage à l’une des meilleures photographes d’artistes Rock du Québec.  Merci de m’avoir fait confiance Linda, j’espère que tu aimeras cet article en ton honneur, mes amitiés xoxo

Travailler en  famille

La Famille Chevalier, avec François âgé de 25 ans, naturopathe et propriétaire de trois boutiques Minotaure Nutrition, leurs  parents Daniel et Linda Boucher et ainsi que Yannick 23 ans, qui est le gérant des boutiques de son frère. Notons que ses deux gars sont des commerçants comme leur grand-père et qu’ils sont aussi tous deux, propriétaires d’un autre entreprise à part égale, qui s’appelle Predator Labs depuis 2016, qui est une compagnie de suppléments et vitamines. Mentionnons que deux des boutiques de François Minotaure Nutrition sont dotées d’un Gym. Deux sportifs, qui suivent pratiquement aussi les traces de leur grand-maman !

Nos salutations de toute la famille, à Géo Giguère et La Famille Rock!

Venez la visiter à sa boutique, Les Trésors de Linda, 181 B Boulevard Ste Anne, Sainte-Anne-des-Plaines QC J0N 1H0.

Vous y trouverez toutes sortes d’articles, des photos d’artistes, une collection de chandails Rock, des sacs à main et bien plus!

 

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5 Comments

5 Comments

  1. Geo Giguere

    12 mai 2020 at 11:35 AM

    Venez la visiter à sa boutique, Les Trésors de Linda, (181 B Bouilevard Ste Anne, Sainte-Anne-des-Plaines QC J0N 1H0). Vous y trouverez toutes sortes d’articles, des photos d’artistes, une collection de chandails Rock, des sacs à main et bien plus!

  2. Geo Giguere

    9 mai 2020 at 4:29 PM

    cest fete des Meres demain: extraits 6 « C’est ma mère qui m’a offert ma première Nikon en 1979. On a fait le premier livre de l’année à mon école, j’étais chef de la photo. Drôle à dire, car j’étais la seule qui prenait des photos. Au début, y’en avait deux autres qui voulaient en faire, mais ils n’avaient pas l’équipement professionnel comme moi. Ma mère m’avait bien équipée ! Et d’ailleurs, je ne me souviens même pas comment j’ai passé mon année scolaire, car j’étais plus souvent au local pour le livre que dans mes cours. Et pourtant, j’ai eu mon diplôme ! J’ai appris à développer mes films et photos au secondaire V.

  3. larry todd

    7 mai 2020 at 8:32 PM

    Linda est la Premiere a etre admis comme correspondante au comité des archives de Famille Rock, quel vécu, quel photos,, bravo

  4. Geo Giguere

    7 mai 2020 at 4:11 PM

    C e fut un tres belle histoire entre moi editeur et cette personne attachante Linda Boucher. Une des rares photographes feminins dans le domaine de la musique québécoise. Bravos et merci !

  5. Geo Giguere

    7 mai 2020 at 2:57 PM

    BOOM un autre chef d’oeuvre du genre hommage a un proche collabo. un voyage dans le temps pour les curieux de la vie du journal poprock dans les annees 80 . Archivistes et historiens vont se regaler ! bravos a
    @Nathalie Ruscito

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