Chroniques

Genesis Turn It On

Concert au stade Olympique # 12
Genesis Turn It On Again : The Tour
14 septembre 2007
Publié le 17 avril 2021

 


Recherche par René Maranda

 

Genesis Turn It On Again : The Tour

Turn It On Again : The Tour est le titre donné à la tournée pour la reformation du groupe Genesis, qui débuta le 11 juin 2007 en Europe et se conclut le 13 octobre 2007 en Amérique. C’est une tournée de 47 concerts, soit 22 en Europe et 25 en Amérique.

 

 Texte par André Thivierge

  • C’était la première fois que Phil Collins rejoignait ses comparses de Genesis sur scène en 15 ans. Le 14 septembre 2007, nous étions 40,000 fans enthousiastes à avoir apprécié un spectacle de deux heures et demie qui couvrait 30 ans de répertoire. 
  • La scène était impressionnante avec un écran géant de 63 mètres de large qui offrait des infographies époustouflantes dont celle d’un géant qui courait pendant In the Cage.

  • On retient aussi les images en forme stylisées qui représentent les personnages des pochettes de Genesis telles la joueuse de croquet de Nursery Crime et Albert de l’album Duke.
  • Phil Collins a presqu’animé la soirée exclusivement en français et on sentait l’émotion du groupe de revenir à Montréal, une de leurs villes fétiches.
  •  Comme le groupe n’avait pas d’album à promouvoir, nous avons eu droit, non seulement aux succès récents mais beaucoup de chansons iconiques de l’époque progressive de Peter Gabriel et Steve Hackett telles In the Cage, Cinema Show, Carpet Crawlers, Ripples, I Know What I Like et Los Endos. Certaines d’entre elles n’avaient pas été jouées depuis plus de 25 ans.
  • Pendant qu’on entendait ces classiques du groupe, des images des débuts du groupe, format géant, défilaient sur l’écran,
  •  Parlant de guitare, on ne peut passer sous silence le solo de guitare dément de Daryl Stuermer, digne remplaçant d’Hackett dans Firth of Fifth.
  •  Plusieurs d’entre nous avons noté une qualité de son inhabituellement bonne au Stade olympique, un endroit qui habituellement offre une réverbération excessive.
  •  Le spectacle ne pouvait se conclure sans un duo tonitruant de batterie de Phil Collins et son comparse Chester Thompson qui commençaient celui-ci à partir de deux tabourets de bars.

Voici ce que la presse montréalaise en pensait le lendemain matin – De vibrantes retrouvailles et Un miracle signé Genesis!

Le Journal de Montréal

La Presse

Mike Rutherford, Phil Collins et Tony Banks

 

BANNIÈRE : THOMAS O’SULLIVAN
WEBMESTRE : STEVEN HENRY
RÉDAC’CHEF : MURIEL MASSÉ
ÉDITEUR : GÉO GIGUÈRE

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